Le monde d'Annie Goetzinger est très élégant, très féminin. Dans Charlotte et Nancy, on se promène dans le milieu de la mode. C'est assez superficiel, c'est du mauvais Christin,
mais bon, maintenant, on est habitué.
Le monde de Jack Palmer est tout le contraire. Il habite dans un apart minable, dans lequel il a remonté pièce par pièce sa voiture pour ne pas qu'on la lui vole... On le retrouve au
défilé de mode... C'est complètement déplacé. J'adore ça.
Les journalistes qui nous racontent l'histoire sont représentés à la fin de l'album, dans les pages bonus.
Il s'agit des deux auteurs bien entendu.