Veyron l'avoue en ouverture de l'amour propre, s'il s'est pris pour modèle du héros, c'est qu'il ne se voyait pas dessiner la bite d'un autre.
Cette BD est une petite parenthèse porno (por vos, por to l'monde ?) dans ses livres. Et globalement,
j'aime vraiment tout ce qu'il fait (sauf 3 d'entre elles que je déteste). Sorte de Lauzier positif.
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En plus de se dessiner, il a placé des auto-clin_d'yeux dans ses BD. Et quelques clins à son vieux pote Jean-C. Denis.