Pour reprendre le phrasé de L'incal, nous voici avec ce qui est en haut.
Baru, L'enragé #1 p25
Harzak débute au tout début de l'aventure "Acier couinant". Vite remplacé par Harzac, puis Harzack, Arzak, Harzakc, Arzach, et Arrzak. L'aventure est pliée entre 75 et 76. Une aventure sans
(quasiment) de paroles. On a du mal à s'en rendre compte aujourdhui', mais, dixit le maitre, sa parution a fait l'effet d'une bombe à ressort, explosant à tous les niveaux.
Arzach est l'homme, ou son oiseau. Celui qui dirige, ou celui qui avance... On ne sait pas qui c'est, de l'un ou de l'autre (on l'apprend dans la dernière histoire, mais qui gâche un peu
l'ensemble, donc elle compte pas, donc on sait pas). Ni vraiment qui est-ce : son nom a des contours très variables... Arzach est plusieurs, comme
les personnages d'un rêve... qu'on dirige à peine, au petit matin.
Clerc, Journal p22
Pour moi, Arzach fut une sorte de passage à l'acte, une plongée dans des mondes étranges, au delà du
visible. Pour autant, il ne s'agissait pas de produire une histoire bizarre de plus, mais de révéler quelque chose de très personnel, de l'ordre de la sensation. J'avais comme projet d'exprimer
le niveau le plus profond de la conscience, à la frange de l'inconscient.
Bon, je ne sais pas toujours différencier la mouette à béton de l'incal, dont le nom scientifique est Croot, et Arzak...
J'avoue que le bouchon de radiateur de la dernière image est un clin d'oeil tiré par les cheveux...
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Le dernier des ptéroguerriers
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