Bordeaux la bourgeoise est une ville d'images. Une ville qui a ouvert les bras de son fleuve à de nombreux auteurs de bandes dessinées, et qui s'y sont installés. 
Hier soir, 9-33 rentrait dans le vif de son sujet, et
braquait nos projecteurs sur le nouvel album de Moynot, chez Futuro. La presse n'était pas très au rendez-vous, que voulez-vous... Pour la presse quotidienne régionale, la BD c'est Largo
Winch quand sortira le film. C'est Titeuf ou Asterix quand les feuilles tombent. En même temps, la presse culturelle (Les inrock pour les jeunes, Télérama pour les autres,
par exemple) a des avis tellement attendus, que c'en est désespérant (ah que c'est bien l'assoce, Sfar, les ptits éditeurs...).
Le rendez-vous était aux capus :
Une fresque magnifique de Dumontheuil orne l'entrée du resto, dont la salle est carrelée comme un labo de charcutier. Le cochon volant, c'est à 2 coudées de l'atelier dudit montheuil, et c'était la base arrière de la lunette :
Les auteurs étaient au rendez-vous, et quelques membres éminents du Ragging bulles... et voila.
Et surtout, en concert accoustique, Emmanuel Moynot et ses Hat-boys, pour 5 morceaux blues-rock, enfin, blues (parceque, qu'est-ce que c'est que le rock ?). Je me désespérais de ces auteurs de BD, qu'on espère en livre, et qui se perdent en bricolage (Rabaté, revient !!), et pour le coup, je me dis que le disque de Moynot, je me l'acheterais bien... Une voix rocailleuse, un rythme de pro, des guitares qui n'existent qu'en bois... Le titre de son album, L'heure la plus sombre..., vient d'une chanson de Robert Zimmerman :
C'est même pas daté ! Et, pas de Raconteurs sans Led Zep, et pas de Led Zep sans Dylan...
Pour moi, le cochon volant, c'était le 9/11/06, et je renaissais.
Hier soir, 9-33 rentrait dans le vif de son sujet, et
braquait nos projecteurs sur le nouvel album de Moynot, chez Futuro. La presse n'était pas très au rendez-vous, que voulez-vous... Pour la presse quotidienne régionale, la BD c'est Largo
Winch quand sortira le film. C'est Titeuf ou Asterix quand les feuilles tombent. En même temps, la presse culturelle (Les inrock pour les jeunes, Télérama pour les autres,
par exemple) a des avis tellement attendus, que c'en est désespérant (ah que c'est bien l'assoce, Sfar, les ptits éditeurs...).Le rendez-vous était aux capus :
Une fresque magnifique de Dumontheuil orne l'entrée du resto, dont la salle est carrelée comme un labo de charcutier. Le cochon volant, c'est à 2 coudées de l'atelier dudit montheuil, et c'était la base arrière de la lunette :
Les auteurs étaient au rendez-vous, et quelques membres éminents du Ragging bulles... et voila.
Et surtout, en concert accoustique, Emmanuel Moynot et ses Hat-boys, pour 5 morceaux blues-rock, enfin, blues (parceque, qu'est-ce que c'est que le rock ?). Je me désespérais de ces auteurs de BD, qu'on espère en livre, et qui se perdent en bricolage (Rabaté, revient !!), et pour le coup, je me dis que le disque de Moynot, je me l'acheterais bien... Une voix rocailleuse, un rythme de pro, des guitares qui n'existent qu'en bois... Le titre de son album, L'heure la plus sombre..., vient d'une chanson de Robert Zimmerman :
C'est même pas daté ! Et, pas de Raconteurs sans Led Zep, et pas de Led Zep sans Dylan...
Pour moi, le cochon volant, c'était le 9/11/06, et je renaissais.
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