Les bancs publics est un film saturé d'acteurs... un peu au détriment de l'histoire. Malgré tout, c'est drôle, bien joué, et on recolle un peu les pièces du puzzle à la fin, parce qu'à force de se croiser, on se rencontre.
Mais bon, là n'est pas la question (même si je me la posais hier à moi même, avant d'avoir vu le film).
Podalydès est amateur de Tintin !
Le minuscule rôle de Campan réintroduit dans l'univers du réalisateur, Le sceptre d'Ottokar. Il évoque dans l'entrebaillement de la porte, nos soldats engagés dans la guerre en Syldavie.
On ne le voit pas sur l'image ci-dessus, parce que la scripte était à la ramasse, mais dans l'étagère derrière, on pouvait voir dans une scène suivante, une fusée lunaire. Qu'on retrouvait ensuite dans les bureaux de la Cogerep (environ) lors du pot de départ du personnage de Balasko. A la caisse du magasin de bricolage, un marsupilami fait ce qu'il sait faire (rien, même pas faire sourire).
Et puis, c'était rigolo de voir Tronchet en flic, notant sur son carnet à souche, l'excès de vitesse d'un tag dans le jardin public.