Toujours le truc du cordon ombilical.
L'ensemble des ouvrages d'un auteur peut être parfois considéré comme un tout. En particulier quand on reste dans le même univers : l'heroïc fantasy d'Arleston, ou le monde petit bourgeois de Martin Veyron.
L'amour propre est une aventure en dehors du cycle des Bernard Lermite. Le héros a des airs de l'auteur d'ailleurs. Lermite, célèbre tombeur, est au lit, le temps de cette case, dans ce livre pas fait pour lui.
Veyron dessinait beaucoup dans la presse. A l'époque, il était présent régulièrement dans Info-matin, d'où il a été viré pour son dessin "Sida, on perd les pédales". On retrouve ce titre dans Donc Jean !. Dans ce même album, le héros discute un brin avec le héros blond.
Dans Vite !, on reconnait Lermite, encore fourré dans des histoire pas claires...