Du coup, pour la première fois, il nous parle de lui, et de ce qui nous intéresse ici : son métier, et sa place dans son monde.
Déjà, il semble vouloir dessiner pour des vieux... en gros des gens de son âge.
Il se pose la question de la place de la BD, en particulier dans le monde gros bourgeois qu'il occupe : au mieux c'est du mépris, quelquechose d'extravagant... au pire une aberration.
Et puis le démon du ciné, d'une voie plus élégante et respectable, pointe toujours son nez.
Veyron est un dessinateur qui ne s'assume pas. Au contraire du gros cochon qu'il est. Comme quoi.
Alors, je crois que ça y est : on l'a perdu pour la BD !