Un beau gosse en collant moulant ne pouvait qu'inspirer Farrokh Bulsara... Mais s'il est bien question de Queen aujourdhui, c'est plutôt d'un empire dont il s'agit : celui de Ming sans pitié !
Et comme j'ai parlé de Reine et d'empire : recliquez sur le lien précédent... ne trouvez-vous pas une ressemblance étonnante entre Fria et Leia ? Pas étonnant puisque Georges Lucas a bourré son cycle de référence à l'univers de Flash Gordon.
On en retrouve aussi chez Blutch, qui n'a pas lu que Tintin et le spectre d'Ottokar ou Blake et Mortimer :
Blutch :
Le petit Christian #2
L'oeuvre de Raymond, et Flash en particulier, est une grande source d'inspiration pour nos chers auteurs classiques. Bon, Benoit tente de nous faire croire qu'il n'a pas fait que du
Hergé quand il savait dessiner, et Toppi ne délaisse pas ses fantastiques enluminures pour rendre hommage à ce génie de la ligne claire.
Des hommages par Benoit, Toppi et Alec
Séverin
Alec Séverin est un fan absolu des américains de cette époque, et ce dessin de Flash Gordon m'avait été donné lors d'une rencontre à un festival de BD normand. Je me souviens qu'il
essayait de se souvenir, en compagnie de Vehlmann et d'une demi-douzaine d'amateurs, les noms des successeurs de Raymond... Quand j'ai dit "Barry" (Lîle à double face a été une de mes
premières BD). Je crois que Séverin ne s'était pas rendu compte que son pseudonyme actuel (il canulardait alors Lisa Desamours dans Spirou avec Zidrou) était le nom d'un auteur de
Flash !
Vatine et Cailleteau : Stan Pulsar
Guy l'éclair était un héros humain, sans super-pouvoir, sans grosse hache ni kaméhaméha... Les héros se font rare aujourdhu'i,
où le quotidien et l'autobio à 2 balles remplissent nos étagères...
Al Voss nous déshabille Dale, et Lob truffe sa jungle de références à Flash.
Jean-C. Denis se moque de Guy L'éclair, mais fond comme un glaçon sous le charme de Fria !