Lambil débute dans Spirou à l'âge de 10 ans.
Mais il faudra attendre un peu avant qu'il y republie à nouveau. Sandy à partir de 1959, un mini-récit de Delporte (Kangourou, Koala et Kiwi contre Kookaburra), quelques
Oncle Paul avec Joly, Hobby et Koala. Puis, c'est la reprise des tuniques bleues et le démarrage de Pauvre Lampil, et l'arrêt de toutes ses autres séries.
Lambil est pris en référence sous l'aspect de son personnage ronchon par Walthéry, alors que tous les autres auteurs sont représentés en tant que tels :
Walthéry et
Mitteï : Natacha et les petits miquets
Laudec, complice du même scénariste (mais à ce stade là, peut-on encore l'appeler comme ça ?) en fait un glacier plus ou moins récurrent dans sa série :
Laudec et
Cauvin, Cédric
Bédu, après avoir quitté tintin pour notre plus grand malheur s'accoquine avec le vieux pilier de Spirou :
Bédu et
Cauvin, Les psy
Mais c'est Hardy qui l'enterre... toujours avec le même pilier du même journal !
Hardy et Cauvin, Pierre Tombal
Cet article qui se voulait une sorte d'hommage (faut pas déconner quand même) à Lambil (qui secoue au'jourdhui ses 74 balais) risque de sombrer dans un panégyrique à Cauvin, le parasite de
Spirou.
Le jour du jugement dernier, les rédacteurs en chef de Spirou devront répondre de ça ! Dans le Bo-Doï hors série #12, Tinlot s'explique sur le sujet, en disant sa démission au sujet de cette
"pointure".
Pauvre Lambil
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