ti nous casses Libourne*

Publié par Elouarn Blade sur 3 Janvier 2011, 00:04am

Catégories : #clin d'oeil

Loïc Dauvillier est un auteur et un éditeur qui ne s'édite pas, au contraire de Guillaume Trouillard, qui n'est édité nulle part ailleurs qu'à La cerise (je suis tombé récemment sur un de ses courts récits paru dans un collectif chez Delcourt), et qui n'édite presque rien d'autre (mais des bijoux de cuisine).

Charette édite des livres d'images, des bandes dessinées (mais crise oblige... c'est fini), des affiches...
En particulier une lithographie à 4 mains par Prudhomme (auteur de l'image de gauche, tirée d'une merveille éditée par Charette) et Revel.

Dans Bordeaux, Bourhis croise un auto-stoppeur, qu'il laisse dans la mouise : Bourhis : La main verte

Loïc Dauvillier est un personnage épatant, bourré de vie, adepte des mises au points, des coups de gueule mais surtout de ceuces du coeur !
Bon anniversaire alors.

*merci à Laurent pour ce jeu de mot pourri

Des filles au soleil

I get high...

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Mo' la fée

07/01/2011 08:00

j'ai rencontré Loic Dauvillier au Festival BD de Colomiers en novembre dernier. Epatant oui, une idée à la seconde ^^ Ce n'est pas qu'il nous surveille, enfin... un peu, c'est qu'il aime savoir quelles réactions suscites ses albums. Il aime échanger. Honnetement, vu la médiocrité de mon avis sur Inès, sa réaction sur mon blog a permis un échange très ouvert et réellement intéressant. Dommage que lors du transfert de plateforme, des commentaires se soient perdu en route. Les réponses que je luis ais faites ont disparues et l'échange n'est pas complet. Un auteur très sympathique

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Elouarn Blade

08/01/2011 13:34

C'est sûr, c'est important pour un auteur de savoir s'il est aimé, et comment... Sauf que sur internet, on n'aura pas tous les avis. Et puis, les grandes amours sont silencieuses ! Je ne suis pas sûr que l'avis d'un lecteur fasse progresser un auteur, ça flatte juste son ego, où lui fiche les trippes en l'air. Et c'est vrai : il est très chouette ce Loïc Même si j'ai été un peu déçu par 9 pieds sous terre (l'idée de départ -un chat meurt accidentellement, et la séquence suivante recommence avec plus de chance, mais il meurt plus loin, 9 fois- est rigolote, mais c'est un peu pénible de relire les mêmes scènes)