Par contre, on peut éviter de lire Tintin au Congo, (de même que les soviets et en Amérique), qui est assez mauvais du point de vue de la narration, du développement du récit, et même du dessin.
Au Congo, Tintin est appelé Boula-Matari, qui signifierait le "briseur de rocher", surnom donné par les indigènes en signe de déférence et de respect à l'explorateur anglais Stanley.

Chaland est dans la parodie des mythes. Yann lui embraye facilement le pas :
Blutch a été nourri de Tintin, et c'est visible depuis ses débuts (du tournage de Tintin au Tibet dans fluide à l'apparition de Tintin dans Sunnymoon). Malheureusement, je vous parle ici du Blutch "auteur", que je croyais perdu après ses errements futuropolistes et son désolant Aire libre... Ressucité dans Charlie hebdo :
Roba en fait un gentil détournement (tout est trop désespéremment gentil et lisse dans Boule et Bill).