Ses livres ne sont pas réellement des BD, même s'ils en contiennent quelques pages parci-parlà, mais ses strips sont souvent assez drôles, et posent des principes de ce qu'est une BD (jouent sur ce fameux espace inter-iconique), de ce qu'apporte la couleur, le point de vue... Et des rapports entre l'auteur et sa créature.

Le chat annonçait que lorsque son créateur mourra, il se suicidera. En attendant, rigolonzun brin, avec Geluck lui même.





Mais il en va du chat comme de Corto Maltese. Les gens qui ne connaissent rien à la BD les avancent fièrement dans la discution. Et les objets dérivés sont légions, que c'en est à vomir. Et tout amateur de BD est effrayé à l'approche des fêtes, de se voir offrir une montre Corto ou une tasse du Chat (hé oui, malgré tout, ils ne jouent pas dans la même cour). Ce coté "homme d'affaire" de Geluck m'horrible-pile.