David Prudhomme me donna un jour son n° de téléphone sur un papier qui trainait sur sa table à dessin. Il en était au début de son Rébétiko. Je retourne le papier : une petite table à
bougies y est dessinée. J'espère d'abord que ce dessin ne lui manquera pas. Et puis je me dis que lorsque la BD paraîtra (1 ou 2 an plus tard) je guetterai cet élément de décor.
Que voilà une page inédite !
Et je pense à toutes ces pages qu'on ne verra jamais... les dessins oubliés, en trop, les pages qui n'ont plus de place dans les livres, en fin de compte.
Pourquoi nous les enlever à jamais ? Vive les blogs des repentirs et des gribouillages.
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Et le type de la case, on sait maintenant pourquoi il brûle un cierge, c'est pour qu'on voie la bougie sur ton blog aussi !<br />
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