J'ai adoré Trondheim.
Et puis j'ai trouvé Amour et intérim un peu faible... Pour de vrai carrément pauvre : le nombril au niveau du nombril. Et la suite un peu nulle. En particulier le suicide de Lapinot : faux rebondissement, tellement attendu (à lire la déprim de Trondheim de ci-de là). Heureusement, L'accélérateur atomique a redorré le blason de Lapinot : un vrai petit bonheur.
Donc, globalement, sur les 10 albums : 4 albums que je n'aime vraiment pas, 4 géniaux et un OVNI (scénarisé par Le Gall).
Boulet, Terreurs de la nature p44
Boulet, comme de si nombreux blogueurs dessinateurs, est subjugué par le Maître ! Que c'en est risible... limite pitoyable (un peu comme les apprentis dessinateurs admiratif de Skydoll, comme d'autres l'étaient de Wendling il y a 10 ans).
Simon Léturgie, toujours prompt à se moquer, redresse la barre, parce que quand même, Trondheim est éditeur.
Zep, bon, minaude devant l'ex-talentueux.
Blain et B, La révolte d'Hop-Frog p4
Blain cligne son scénariste, Emile Bravo, et Blacktown.
Larcenet, fortement inspiré par Blutch (Dallas cow-boy) et Trondheim (Presque), le suit à la trace.
Robin installe un Lapinot dans un court récit, et ce n'est guère étonnant pour cet ancien colloc de Trondheim, dans l'atelier Nawak.
Yann rappelle enfin le statut superstar de Lewis... Et tiens... personne n'évoque son coté cabotin pénible...